Autrefois, on construisait un luth ou un violon comme on bâtissait une cathédrale.
L’instrument était ainsi envisagé comme un lieu privilégié où se rencontrent et se mettent en résonance les dimensions céleste et terrestre.
Par lui, une médiation s’opère entre les deux mondes – inférieur et supérieur. Une voie s’ouvre, par laquelle l’infini passe dans le fini et le fini dans l’infini. Le violondevient un miroir – ainsi qu’une porte d’accès – pour le monde invisible.
Dès lors, cet instrument nous offre un étonnant symbole de l’«Être spirituel».
Penser la symbolique du violon invite à repenser la Vie.
Au-delà d’une réflexion sur la lutherie, ce livre ouvre une réflexion profonde sur le sens même de l’existence.
Autrefois, on construisait un luth ou un violon comme on bâtissait une cathédrale.
L’instrument était ainsi envisagé comme un lieu privilégié où se rencontrent et se mettent en résonance les dimensions céleste et terrestre.
Par lui, une médiation s’opère entre les deux mondes – inférieur et supérieur. Une voie s’ouvre, par laquelle l’infini passe dans le fini et le fini dans l’infini. Le violondevient un miroir – ainsi qu’une porte d’accès – pour le monde invisible.
Dès lors, cet instrument nous offre un étonnant symbole de l’«Être spirituel».
Penser la symbolique du violon invite à repenser la Vie.
Au-delà d’une réflexion sur la lutherie, ce livre ouvre une réflexion profonde sur le sens même de l’existence.