Au XIIe siècle « apparaît » un ouvrage énigmatique : le Sefer ha-Bahir (« Le Livre de la Splendeur »), un traité ésotérique anonyme en hébreu. Il inaugure un genre littéraire promis à un avenir aussi radieux que funeste : la Kabbale. Au plus près des sources, l´auteur nous invite à (re)découvrir cette « tradition » (le sens premier de Qabbalah), par une approche originale et innovante de ce vaste sujet qui a donné lieu à de nombreuses publications érudites. Cet ouvrage, qui est moins un « guide pratique » qu´une invitation à plonger dans un univers fascinant, est destiné à un public sensibilisé mais pas nécessairement expert, afin que tous puissent appréhender ce genre qui a révolutionné le judaïsme et irradié le christianisme ainsi que la philosophie en Occident. Si les premiers kabbalistes provençaux élaborent une doctrine proprement « révolutionnaire » - le Mal s´est « accidentellement » libéré lors du processus divin de Création et a envahi le monde - c´est au XVIe siècle que l´humain devient le centre de la Kabbale avec comme idée fondamentale qu´il revient à l´humain - et à lui seul - de « réparer » ce monde imparfait où prolifèrent la peur, l´injustice, la souffrance et la mort. C´est sous cet angle que l´auteur, qui est enseignant et conférencier, nous transmet son savoir à propos de cette tradition ancestrale !
Au XIIe siècle « apparaît » un ouvrage énigmatique : le Sefer ha-Bahir (« Le Livre de la Splendeur »), un traité ésotérique anonyme en hébreu. Il inaugure un genre littéraire promis à un avenir aussi radieux que funeste : la Kabbale. Au plus près des sources, l´auteur nous invite à (re)découvrir cette « tradition » (le sens premier de Qabbalah), par une approche originale et innovante de ce vaste sujet qui a donné lieu à de nombreuses publications érudites. Cet ouvrage, qui est moins un « guide pratique » qu´une invitation à plonger dans un univers fascinant, est destiné à un public sensibilisé mais pas nécessairement expert, afin que tous puissent appréhender ce genre qui a révolutionné le judaïsme et irradié le christianisme ainsi que la philosophie en Occident. Si les premiers kabbalistes provençaux élaborent une doctrine proprement « révolutionnaire » - le Mal s´est « accidentellement » libéré lors du processus divin de Création et a envahi le monde - c´est au XVIe siècle que l´humain devient le centre de la Kabbale avec comme idée fondamentale qu´il revient à l´humain - et à lui seul - de « réparer » ce monde imparfait où prolifèrent la peur, l´injustice, la souffrance et la mort. C´est sous cet angle que l´auteur, qui est enseignant et conférencier, nous transmet son savoir à propos de cette tradition ancestrale !