Par quel passé sommes-nous habités, voire hantés ? Pouvons-nous nous en détacher, l’oublier, tourner la page, ou sommes-nous voués à raviver sans cesse le souvenir des souffrances ? N’y aurait-il pas une autre voie possible, celle d’une conscience de ce qui est advenu permettant de résister de façon créative au mal ? Le pardon suffirait-il ? Mais à quelle condition ? Une « réparation » des traumatismes n’est-elle pas nécessaire ?
C’est à ces questions qui surgissent, encore aujourd’hui, du tragique de nos histoires personnelles et collectives, que se confronte Catherine Chalier, à partir des textes bibliques et de la tradition juive de leur interprétation, mais aussi en interrogeant quelques grandes figures de la philosophie contemporaine : Levinas, Ricœur, Derrida, Jankélévitch. Pour esquisser un chemin de libération…
Par quel passé sommes-nous habités, voire hantés ? Pouvons-nous nous en détacher, l’oublier, tourner la page, ou sommes-nous voués à raviver sans cesse le souvenir des souffrances ? N’y aurait-il pas une autre voie possible, celle d’une conscience de ce qui est advenu permettant de résister de façon créative au mal ? Le pardon suffirait-il ? Mais à quelle condition ? Une « réparation » des traumatismes n’est-elle pas nécessaire ?
C’est à ces questions qui surgissent, encore aujourd’hui, du tragique de nos histoires personnelles et collectives, que se confronte Catherine Chalier, à partir des textes bibliques et de la tradition juive de leur interprétation, mais aussi en interrogeant quelques grandes figures de la philosophie contemporaine : Levinas, Ricœur, Derrida, Jankélévitch. Pour esquisser un chemin de libération…