Les œuvres de Dieu sont réparties en deux domaines : il y a les choses naturelles, qu’embrasse la philosophie, et les œuvres du Christ, qui sont l’affaire de la théologie.
C’est en ces deux que nous devrions à juste titre user le peu de temps que nous vivons sur terre, histoire de mourir plus heureux et en paix.
Les francophones amoureux de Paracelse vont se réjouir.
Voici, en effet, un nouveau traité de cet étonnant et détonant (mais non détonnant !) Aureolus Philippus Theophrastus Bombast von Hohenheim, le personnage peut-être le plus original de cette époque de Charles Quint, où l’hermétisme reprit une vigueur qui, sans le nuage noir du rationalisme venu plus tard l’étouffer, vivifierait encore notre triste siècle.
On trouvera ici des enseignements parfois bien éloignés des considérations de nos savants contemporains.
Le lecteur pourra, à sa guise, s’en étonner, en rire, s’en instruire, voire s’en nourrir et en vivre.
Il remarquera aussi, dispersées çà et là, quelques perles. Elles méritent de ne pas être foulées aux pieds.
Bien plus, elles valent de l’or
Les œuvres de Dieu sont réparties en deux domaines : il y a les choses naturelles, qu’embrasse la philosophie, et les œuvres du Christ, qui sont l’affaire de la théologie.
C’est en ces deux que nous devrions à juste titre user le peu de temps que nous vivons sur terre, histoire de mourir plus heureux et en paix.
Les francophones amoureux de Paracelse vont se réjouir.
Voici, en effet, un nouveau traité de cet étonnant et détonant (mais non détonnant !) Aureolus Philippus Theophrastus Bombast von Hohenheim, le personnage peut-être le plus original de cette époque de Charles Quint, où l’hermétisme reprit une vigueur qui, sans le nuage noir du rationalisme venu plus tard l’étouffer, vivifierait encore notre triste siècle.
On trouvera ici des enseignements parfois bien éloignés des considérations de nos savants contemporains.
Le lecteur pourra, à sa guise, s’en étonner, en rire, s’en instruire, voire s’en nourrir et en vivre.
Il remarquera aussi, dispersées çà et là, quelques perles. Elles méritent de ne pas être foulées aux pieds.
Bien plus, elles valent de l’or