« La poésie, bien plus que la prose, est par excellence l’expression de la littérature turque de la période ottomane. Des poètes anonymes se sont souvent exprimés sous les noms des chantres les plus célèbres. Pour pouvoir être transmise et adoptée aussi spontanément, cette poésie devait offrir des images sûres et fortes exprimant des thèmes directement sensibles. Elle exprime une intense participation au monde, non un jeu plein de grâce où la virtuosité l’emporte sur ce qu’il véhicule. La poésie populaire turque est une des plus prenantes de la poésie orientale et, davantage, de la poésie tout court. » Gérard Chaliand
Gérard Chaliand a rassemblé et traduit du turc ces trois poètes Karadja Oghlan, Pir Sultan Abdal et Yunus Emre dans cette édition bilingue.
« La poésie, bien plus que la prose, est par excellence l’expression de la littérature turque de la période ottomane. Des poètes anonymes se sont souvent exprimés sous les noms des chantres les plus célèbres. Pour pouvoir être transmise et adoptée aussi spontanément, cette poésie devait offrir des images sûres et fortes exprimant des thèmes directement sensibles. Elle exprime une intense participation au monde, non un jeu plein de grâce où la virtuosité l’emporte sur ce qu’il véhicule. La poésie populaire turque est une des plus prenantes de la poésie orientale et, davantage, de la poésie tout court. » Gérard Chaliand
Gérard Chaliand a rassemblé et traduit du turc ces trois poètes Karadja Oghlan, Pir Sultan Abdal et Yunus Emre dans cette édition bilingue.