Dans les dix dernières années, nos connaissances sur la construction des cathédrales ont été transformées par la reconnaissance numérique et le laser. On sait ainsi désormais que les arcs-boutants des premières cathédrales ont été rajoutés quelques décennies après la construction du cœur et des verrières pour éviter leur effondrement. Ce sont ces connaissances nouvelles que J.-F. Blondel nous apporte dans ce livre qui révèle aussi quelques secrets des architectes cachés sous forme d´énigmes sur leurs pierres tombales.
L´âge d´or des cathédrales se situe aux XIIe et XIIIe siècles. C´est avec l´abbé Suger, le conseiller des rois capétiens Louis VI et Louis VII, que « l´art gothique » va permettre à la cathédrale de s´ouvrir sur le monde extérieur en y déversant la lumière au sein de la nef et du chœur, tandis que dans la poussière des chantiers sacrés, les maîtres d´œuvre élèveront les voûtes d´ogive toujours de plus en plus haut. Cependant, des travaux scientifiques récents montrent que la plupart des nos « vieilles dames de pierre » ne seraient plus debout aujourd´hui, si les bâtisseurs n´avaient fait appel aux artisans du fer qui, très ingénieusement, insérèrent le métal dans la pierre pour augmenter sa résistance aux pressions s´exerçant de toutes parts et qui menaçaient la stabilité de l´édifice.
Fascinés par cette « épopée des cathédrales », les hommes firent appel au merveilleux et au surnaturel pour expliquer ce qu´ils voyaient d´étrange dans ces œuvres grandioses. Ne disait-on pas qu´anges et démons avaient leur part dans la construction ? Pourquoi les cathédrales sont-elles toutes des « Tours inachevées » ?
Les cathédrales seraient-elles des « Demeures philosophales » ? C´est du moins ce que l´on serait en droit de penser à la vue de ces étranges médaillons et figures hiéroglyphiques, qui semblent vouloir expliquer au promeneur qui les contemple, les étapes du « Grand Œuvre » des alchimistes ?
Dans les dix dernières années, nos connaissances sur la construction des cathédrales ont été transformées par la reconnaissance numérique et le laser. On sait ainsi désormais que les arcs-boutants des premières cathédrales ont été rajoutés quelques décennies après la construction du cœur et des verrières pour éviter leur effondrement. Ce sont ces connaissances nouvelles que J.-F. Blondel nous apporte dans ce livre qui révèle aussi quelques secrets des architectes cachés sous forme d´énigmes sur leurs pierres tombales.
L´âge d´or des cathédrales se situe aux XIIe et XIIIe siècles. C´est avec l´abbé Suger, le conseiller des rois capétiens Louis VI et Louis VII, que « l´art gothique » va permettre à la cathédrale de s´ouvrir sur le monde extérieur en y déversant la lumière au sein de la nef et du chœur, tandis que dans la poussière des chantiers sacrés, les maîtres d´œuvre élèveront les voûtes d´ogive toujours de plus en plus haut. Cependant, des travaux scientifiques récents montrent que la plupart des nos « vieilles dames de pierre » ne seraient plus debout aujourd´hui, si les bâtisseurs n´avaient fait appel aux artisans du fer qui, très ingénieusement, insérèrent le métal dans la pierre pour augmenter sa résistance aux pressions s´exerçant de toutes parts et qui menaçaient la stabilité de l´édifice.
Fascinés par cette « épopée des cathédrales », les hommes firent appel au merveilleux et au surnaturel pour expliquer ce qu´ils voyaient d´étrange dans ces œuvres grandioses. Ne disait-on pas qu´anges et démons avaient leur part dans la construction ? Pourquoi les cathédrales sont-elles toutes des « Tours inachevées » ?
Les cathédrales seraient-elles des « Demeures philosophales » ? C´est du moins ce que l´on serait en droit de penser à la vue de ces étranges médaillons et figures hiéroglyphiques, qui semblent vouloir expliquer au promeneur qui les contemple, les étapes du « Grand Œuvre » des alchimistes ?