Nouveau !. Le monastère de Cimiez situé sur les hauteurs de Nice, fut fondé au IXe siècle par les moines Bénédictins de l’Abbaye de Saint-Pons. Depuis 1546, il est occupé par des moines Franciscains. Dans l’église Notre-Dame nous pouvons admirer trois tableaux majeurs du primitif niçois Louis Bréa, la Crucifixion, la Déposition de la Croix, la Piétà. Nous comprenons alors l’intérêt que portaient ces Religieux à l’art sacré. Au XVIIe siècle, ils firent recouvrir de « peintures murales » de larges parties du monastère, en particulier par ces images singulières que le présent ouvrage nous décrit et qui malheureusement ne sont plus visibles aujourd’hui. Elles risquent même de disparaître si des travaux urgents ne sont pas entrepris, bien que l’ensemble du monastère soit classé au titre des monuments historiques depuis 1993. Il nous a semblé opportun que les amateurs de symbolisme religieux, de la science d’Hermès, ainsi que tous les hommes et femmes de bonne volonté,puissent enfin avoir sous les yeux la totalité des fresques symboliques. Il faut bien admettre aussi que, rarement, l’alchimie et son symbolisme furent exprimés avec autant de précision, en un lieu consacré à la religion, sachant toutefois que ces représentations offrent elles-mêmes une résonance aux mystères de la foi chrétienne. De ce double aspect, il convient d’éviter toute assimilation hâtive et gratuite, toute confusion malheureuse et de le replacer dans l’histoire de l’Alchimie elle-même du XVIIe siècle finissant, face aux nouvelles philosophies. L’exposé que fait Bernard Chauvière sera apprécié pour son effort de clarté ainsi que pour l’ensemble des images qu’il présente et la fidélité deleur reproduction. Laissons chacun nourrir sa propre réflexion à la lecture de ce livre.
Nouveau !. Le monastère de Cimiez situé sur les hauteurs de Nice, fut fondé au IXe siècle par les moines Bénédictins de l’Abbaye de Saint-Pons. Depuis 1546, il est occupé par des moines Franciscains. Dans l’église Notre-Dame nous pouvons admirer trois tableaux majeurs du primitif niçois Louis Bréa, la Crucifixion, la Déposition de la Croix, la Piétà. Nous comprenons alors l’intérêt que portaient ces Religieux à l’art sacré. Au XVIIe siècle, ils firent recouvrir de « peintures murales » de larges parties du monastère, en particulier par ces images singulières que le présent ouvrage nous décrit et qui malheureusement ne sont plus visibles aujourd’hui. Elles risquent même de disparaître si des travaux urgents ne sont pas entrepris, bien que l’ensemble du monastère soit classé au titre des monuments historiques depuis 1993. Il nous a semblé opportun que les amateurs de symbolisme religieux, de la science d’Hermès, ainsi que tous les hommes et femmes de bonne volonté,puissent enfin avoir sous les yeux la totalité des fresques symboliques. Il faut bien admettre aussi que, rarement, l’alchimie et son symbolisme furent exprimés avec autant de précision, en un lieu consacré à la religion, sachant toutefois que ces représentations offrent elles-mêmes une résonance aux mystères de la foi chrétienne. De ce double aspect, il convient d’éviter toute assimilation hâtive et gratuite, toute confusion malheureuse et de le replacer dans l’histoire de l’Alchimie elle-même du XVIIe siècle finissant, face aux nouvelles philosophies. L’exposé que fait Bernard Chauvière sera apprécié pour son effort de clarté ainsi que pour l’ensemble des images qu’il présente et la fidélité deleur reproduction. Laissons chacun nourrir sa propre réflexion à la lecture de ce livre.