
		Cet ouvrage présente un document inédit de six pages manuscrites, calligraphiées comme à son accoutumée par le Maître de Savignies, et détenu en archives privées. Le texte inédit de Canseliet intitulé « La TABLE D’ÉMERAUDE » apparaît comme fondamental à plus d’un titre : pour le texte exceptionnel, d’abord, bien sûr, qui illustre l’un des plus anciens manuscrits alchimiques connus remontant à l’Égypte Ancienne, et pour certaines photographies inédites ensuite, présentées dans le cahier iconographique, tant historiques qu’issues du laboratoire, dans la voie de l’Antimoine si chère à Canseliet.
La Table d’Émeraude est sans aucun doute le texte sacré le  plus important du corpus alchimique. Il en est à la fois le socle  charnel et la clef de voûte céleste d’un système hermétique immémorial  qui prend ses racines occultes dans la plus Haute Antiquité égyptienne  pour sourdre, en notre temps d’abondance, avec une vivifiante fraîcheur  jusqu’aux extrémités ensoleillées de nos consciences.
 Heinrich Khunrath, l’érudit médecin rosicrucien et alchimiste  allemand avait parfaitement compris dans son Amphithéâtre de la Sagesse  Éternelle à quel point la Table d’Émeraude résumait absolument, en  quelques mots choisis, toute la synthèse de la sapience antique. Le  document inédit que les éditions Arqa publient aujourd’hui est une  correspondance privée d’Eugène Canseliet à l’un de ses amis, écrit  autour de l’année 1948, il comporte exactement six feuillets  calligraphiés à la plume Sergent-Major et intitulé « la Table  d’Émeraude ». Il s’agit ici pour le Maître de Savignies de donner son  expertise érudite de ce texte fondateur au regard de l’Alchimie pérenne,  œuvre cardinale qu’il nomme lui-même comme étant « le Grand Arcane  Philosophal ».
 Eugène Canseliet profite ainsi de l’occasion qui lui  est donnée par l’entremise de ce texte, d’approfondir grandement les  connaissances du chercheur en alchimie, notamment en soulignant le rôle  du vitriol, qu’il soit romain ou bleu, permettant l’obtention des émaux  et la préparation du mariage d’Aphrodite et d’Arès au sein de  l’Antimoine.
 Pour sa part, Cédric Mannu, biographe d’Eugène Canseliet, conjoint  dans ce nouvel ouvrage une présentation savante à la fois de la Table  d’Émeraude, en tant que document historique, la correspondance  alchimique inédite d’Eugène Canseliet et, ajoutant aux mânes des grands  philosophes, de Basile Valentin à Louis Boutard, nous propose une  lecture aussi attentive que subtile de ce si beau texte qu’est la Table  d’ Émeraude...

Cet ouvrage présente un document inédit de six pages manuscrites, calligraphiées comme à son accoutumée par le Maître de Savignies, et détenu en archives privées. Le texte inédit de Canseliet intitulé « La TABLE D’ÉMERAUDE » apparaît comme fondamental à plus d’un titre : pour le texte exceptionnel, d’abord, bien sûr, qui illustre l’un des plus anciens manuscrits alchimiques connus remontant à l’Égypte Ancienne, et pour certaines photographies inédites ensuite, présentées dans le cahier iconographique, tant historiques qu’issues du laboratoire, dans la voie de l’Antimoine si chère à Canseliet.
La Table d’Émeraude est sans aucun doute le texte sacré le  plus important du corpus alchimique. Il en est à la fois le socle  charnel et la clef de voûte céleste d’un système hermétique immémorial  qui prend ses racines occultes dans la plus Haute Antiquité égyptienne  pour sourdre, en notre temps d’abondance, avec une vivifiante fraîcheur  jusqu’aux extrémités ensoleillées de nos consciences.
 Heinrich Khunrath, l’érudit médecin rosicrucien et alchimiste  allemand avait parfaitement compris dans son Amphithéâtre de la Sagesse  Éternelle à quel point la Table d’Émeraude résumait absolument, en  quelques mots choisis, toute la synthèse de la sapience antique. Le  document inédit que les éditions Arqa publient aujourd’hui est une  correspondance privée d’Eugène Canseliet à l’un de ses amis, écrit  autour de l’année 1948, il comporte exactement six feuillets  calligraphiés à la plume Sergent-Major et intitulé « la Table  d’Émeraude ». Il s’agit ici pour le Maître de Savignies de donner son  expertise érudite de ce texte fondateur au regard de l’Alchimie pérenne,  œuvre cardinale qu’il nomme lui-même comme étant « le Grand Arcane  Philosophal ».
 Eugène Canseliet profite ainsi de l’occasion qui lui  est donnée par l’entremise de ce texte, d’approfondir grandement les  connaissances du chercheur en alchimie, notamment en soulignant le rôle  du vitriol, qu’il soit romain ou bleu, permettant l’obtention des émaux  et la préparation du mariage d’Aphrodite et d’Arès au sein de  l’Antimoine.
 Pour sa part, Cédric Mannu, biographe d’Eugène Canseliet, conjoint  dans ce nouvel ouvrage une présentation savante à la fois de la Table  d’Émeraude, en tant que document historique, la correspondance  alchimique inédite d’Eugène Canseliet et, ajoutant aux mânes des grands  philosophes, de Basile Valentin à Louis Boutard, nous propose une  lecture aussi attentive que subtile de ce si beau texte qu’est la Table  d’ Émeraude...
