"Construire une cabane, vivre dans une cabane est un rêve. Qui n’a un jour imaginé le séjour dans une cabane édifiée de ses propres mains ? Mais ce rêve peut aussi être un choix.
Larguant les amarres, le narrateur - mais c’est ici plus que probable qu’il est l’auteur lui-même - propose au lecteur une sorte de pèlerinage vers toutes les cabanes de la terre, de celles, solidement ancrées, des bûcherons d’Amérique, à celles, plus éthérées, des ermitages des hautes montagnes de Chine, en pensant par celles, au toit de chaume, des maîtres de thé du Japon.
En compagnie des poètes, de tous les gens « de la route » et des vagabonds mystiques - et mythiques -, guidée par le désir d’une vie authentique, près des forêts et des rivières, le lecteur, en suivant les parcours originaux, cultivés et pleins de fantaisie et d’humour du narrateur, s’initie à l’esprit singulier d’une tradition de liberté spirituelle.
Né à Paris, en 1949, Antoine Marcel quitte précocement la Sorbonne pour mener une vie aventureuse, en quête d’absolu mais sans rien négliger de « la réalité rugueuse à étreindre ». Longs séjours en Afrique, aux États-Unis et au Moyen-Orient, voyages au long cours sur toutes les mers et sur tous les continents - avec une prédilection pour l’Asie, et particulièrement pour la Chine, où il séjourne régulièrement.
Retiré quelque part dans les causses, au Sud de la France, à la façon des ermites-lettrés de la Chine ancienne, il consacre désormais son temps à l’étude, à l’écriture, à la méditation zen et à la marche, mais aussi à son fils et à sa jeune femme chinoise, laquelle le traite affectueusement de shâgua, terme qu’elle traduit par foolish melon - « courge folle » -, surnom d’auteur tout à fait dans la tradition excentrique d’Extrême-Orient. Antoine Marcel a publié chez Arléa, en 2002, Carnet chinois."
"Construire une cabane, vivre dans une cabane est un rêve. Qui n’a un jour imaginé le séjour dans une cabane édifiée de ses propres mains ? Mais ce rêve peut aussi être un choix.
Larguant les amarres, le narrateur - mais c’est ici plus que probable qu’il est l’auteur lui-même - propose au lecteur une sorte de pèlerinage vers toutes les cabanes de la terre, de celles, solidement ancrées, des bûcherons d’Amérique, à celles, plus éthérées, des ermitages des hautes montagnes de Chine, en pensant par celles, au toit de chaume, des maîtres de thé du Japon.
En compagnie des poètes, de tous les gens « de la route » et des vagabonds mystiques - et mythiques -, guidée par le désir d’une vie authentique, près des forêts et des rivières, le lecteur, en suivant les parcours originaux, cultivés et pleins de fantaisie et d’humour du narrateur, s’initie à l’esprit singulier d’une tradition de liberté spirituelle.
Né à Paris, en 1949, Antoine Marcel quitte précocement la Sorbonne pour mener une vie aventureuse, en quête d’absolu mais sans rien négliger de « la réalité rugueuse à étreindre ». Longs séjours en Afrique, aux États-Unis et au Moyen-Orient, voyages au long cours sur toutes les mers et sur tous les continents - avec une prédilection pour l’Asie, et particulièrement pour la Chine, où il séjourne régulièrement.
Retiré quelque part dans les causses, au Sud de la France, à la façon des ermites-lettrés de la Chine ancienne, il consacre désormais son temps à l’étude, à l’écriture, à la méditation zen et à la marche, mais aussi à son fils et à sa jeune femme chinoise, laquelle le traite affectueusement de shâgua, terme qu’elle traduit par foolish melon - « courge folle » -, surnom d’auteur tout à fait dans la tradition excentrique d’Extrême-Orient. Antoine Marcel a publié chez Arléa, en 2002, Carnet chinois."