"Parlant à la première personne, la Paix est ici à la recherche d´un "" lieu "" où se réfugier. L´Église, les couvents ? Non : on n´y trouve que rivalités, méchanceté et orgueil. Les familles ? Pas davantage : elles languissent dans les divisions et les querelles. Les princes, les grands, les pasteurs ? Encore moins. Paradoxe amer : l´homme, qui a pourtant reçu le message de l´Ancien Testament et celui du Christ, demeure violent. Nulle part ne règne le véritable allié de la Paix : le souci du bien commun. Partout ce sont ses ennemis qui triomphent : la soif de pouvoir, la volonté d´écraser l´adversaire, le désir d´agrandir son territoire, spirituel ou temporel. Malgré les appels pressants adressés aux grands et aux nations, notre monde est toujours traversé de conflits, de barbaries et de crimes. Plaidoyer pour la Paix semble avoir été écrit pour fouailler les générations d´une culpabilité qui ne cessera qu´avec la naissance d´une vraie ""volonté de paix""."
"Parlant à la première personne, la Paix est ici à la recherche d´un "" lieu "" où se réfugier. L´Église, les couvents ? Non : on n´y trouve que rivalités, méchanceté et orgueil. Les familles ? Pas davantage : elles languissent dans les divisions et les querelles. Les princes, les grands, les pasteurs ? Encore moins. Paradoxe amer : l´homme, qui a pourtant reçu le message de l´Ancien Testament et celui du Christ, demeure violent. Nulle part ne règne le véritable allié de la Paix : le souci du bien commun. Partout ce sont ses ennemis qui triomphent : la soif de pouvoir, la volonté d´écraser l´adversaire, le désir d´agrandir son territoire, spirituel ou temporel. Malgré les appels pressants adressés aux grands et aux nations, notre monde est toujours traversé de conflits, de barbaries et de crimes. Plaidoyer pour la Paix semble avoir été écrit pour fouailler les générations d´une culpabilité qui ne cessera qu´avec la naissance d´une vraie ""volonté de paix""."