Voici un magnifique exemple de la musique classique indienne, issue de la tradition perdue de cour, la grande tradition des ragas. Parmi les caractéristiques de ce langage, le long développement thématique, les dessins rythmiques à peine perceptibles à nos oreilles mal entraînées, et naturellement l’utilisation du sitar. Il est impossible de ne pas tomber sous le charme envoûtant de ces sonorités, et quand bien même nous ne sommes pas équipés pour percevoir toutes les incroyables finesses ? certains rythmes de ragas comptent pas moins de 100 temps ! ? et les méandres harmoniques, rien n’empêche de se laisser surprendre par la beauté de cette musique qui a inspiré plus d’un musicien classique occidental depuis le début du siècle. Autre particularité, il s’agit d’enregistrements réalisés sans le moindre montage, d’un souffle : en effet, il serait impossible de reprendre des passages dans un langage qui exige une telle continuité de progression. À entendre, sans hésitation aucune.
Voici un magnifique exemple de la musique classique indienne, issue de la tradition perdue de cour, la grande tradition des ragas. Parmi les caractéristiques de ce langage, le long développement thématique, les dessins rythmiques à peine perceptibles à nos oreilles mal entraînées, et naturellement l’utilisation du sitar. Il est impossible de ne pas tomber sous le charme envoûtant de ces sonorités, et quand bien même nous ne sommes pas équipés pour percevoir toutes les incroyables finesses ? certains rythmes de ragas comptent pas moins de 100 temps ! ? et les méandres harmoniques, rien n’empêche de se laisser surprendre par la beauté de cette musique qui a inspiré plus d’un musicien classique occidental depuis le début du siècle. Autre particularité, il s’agit d’enregistrements réalisés sans le moindre montage, d’un souffle : en effet, il serait impossible de reprendre des passages dans un langage qui exige une telle continuité de progression. À entendre, sans hésitation aucune.