Présenter l´œuvre si vaste du Soufi Pir-o-Murshid Inayat Khan au public francophone est comme vouloir lui faire connaître un continent nouveau presque entièrement inexploré. A part en effet quelques traductions sporadiques restées confidentielles, la majorité du continent du savoir Inayatien reste terra incognita. La meilleure manière d´aborder la connaissance de ce vaste royaume de savoir est de le survoler de très haut, afin d´en avoir une vue d´ensemble. Où ce continent commence-t-il ? Jusqu´où va-t-il ? Hazrat Inayat Khan lui-même a laissé un fil conducteur pour nous permettre d´en comprendre autant la structure que les parties : « Il y a trois marches qui conduisent à l´autel de la divine sagesse : la première est la philosophie, la seconde est la psychologie, la troisième est le mysticisme ». A quoi vise cette œuvre ? A rappeler au lecteur qu´il existe une manière de penser, de sentir, d´agir et de mener sa destinée, en un mot de vivre, plus en harmonie avec la nature, avec lui-même et avec une réalité invisible qui conditionne tout ce qui existe. Mais encore faut-il connaître la nature, se connaître soi-même et connaître quelque chose de la réalité invisible.
Hazrat Inayat Khan, né à Baroda le 5 juillet 1882 et mort à Delhi le 5 février 1927, est le fondateur du « soufisme universel », un mouvement spirituel basé sur l´unité de tous les peuples et de toutes les religions. Né en Inde dans une famille musulmane de musiciens professionnels, Hazrat Inayat Khan est compositeur, chanteur et joueur de vînâ à la cour des maharajas. En 1903, il trouve son maître spirituel, Murshid Sayyed Abu Hashim Madani, qui l´incite à harmoniser l´Orient et l´Occident par sa musique. Inayat Khan est l´auteur de nombreux ouvrages sur la mystique soufie des sons et de la voix. Il est le père de Noor Inayat Khan, officier du renseignement britannique pendant la seconde guerre mondiale, déportée et tuée par les Nazis au camp de Dachau en 1944.
Présenter l´œuvre si vaste du Soufi Pir-o-Murshid Inayat Khan au public francophone est comme vouloir lui faire connaître un continent nouveau presque entièrement inexploré. A part en effet quelques traductions sporadiques restées confidentielles, la majorité du continent du savoir Inayatien reste terra incognita. La meilleure manière d´aborder la connaissance de ce vaste royaume de savoir est de le survoler de très haut, afin d´en avoir une vue d´ensemble. Où ce continent commence-t-il ? Jusqu´où va-t-il ? Hazrat Inayat Khan lui-même a laissé un fil conducteur pour nous permettre d´en comprendre autant la structure que les parties : « Il y a trois marches qui conduisent à l´autel de la divine sagesse : la première est la philosophie, la seconde est la psychologie, la troisième est le mysticisme ». A quoi vise cette œuvre ? A rappeler au lecteur qu´il existe une manière de penser, de sentir, d´agir et de mener sa destinée, en un mot de vivre, plus en harmonie avec la nature, avec lui-même et avec une réalité invisible qui conditionne tout ce qui existe. Mais encore faut-il connaître la nature, se connaître soi-même et connaître quelque chose de la réalité invisible.
Hazrat Inayat Khan, né à Baroda le 5 juillet 1882 et mort à Delhi le 5 février 1927, est le fondateur du « soufisme universel », un mouvement spirituel basé sur l´unité de tous les peuples et de toutes les religions. Né en Inde dans une famille musulmane de musiciens professionnels, Hazrat Inayat Khan est compositeur, chanteur et joueur de vînâ à la cour des maharajas. En 1903, il trouve son maître spirituel, Murshid Sayyed Abu Hashim Madani, qui l´incite à harmoniser l´Orient et l´Occident par sa musique. Inayat Khan est l´auteur de nombreux ouvrages sur la mystique soufie des sons et de la voix. Il est le père de Noor Inayat Khan, officier du renseignement britannique pendant la seconde guerre mondiale, déportée et tuée par les Nazis au camp de Dachau en 1944.