Comme tous les vrais voyageurs, Kenneth White sait que les pays, les villes et les paysages existent déjà dans les bibliothèques et les mappemondes. Découverte à Bruxelles, la très ancienne « carte de Guido », qui rassemble dans un savant désordre l’histoire, la géographie, la philosophie et la poésie d’une Europe médiévale rêvée, devient le pilote secret de ses propres explorations.
À son tour, de Venise et Trieste à Bilbao, de l’Irlande aux Balkans, l’auteur de La Maison des marées dresse une cartographie lyrique et critique de notre vieux continent, brosse des tableaux de société colorés, vivants et malicieux. S’il parle de « pèlerinage », il ne faut y voir rien de religieux, mais une expérience profonde des lieux, ponctuée de rencontres savoureuses avec leurs habitants, et, en passant, l’évocation de quelques figures marquantes de la culture européenne.
La curiosité de Kenneth White est inépuisable, comme sa spontanéité de promeneur érudit et son intelligence toujours sur le qui-vive. Partout dans ce livre, avec ses éclairs et son humour parfois noir, on entend le rire du gai savoir.
Comme tous les vrais voyageurs, Kenneth White sait que les pays, les villes et les paysages existent déjà dans les bibliothèques et les mappemondes. Découverte à Bruxelles, la très ancienne « carte de Guido », qui rassemble dans un savant désordre l’histoire, la géographie, la philosophie et la poésie d’une Europe médiévale rêvée, devient le pilote secret de ses propres explorations.
À son tour, de Venise et Trieste à Bilbao, de l’Irlande aux Balkans, l’auteur de La Maison des marées dresse une cartographie lyrique et critique de notre vieux continent, brosse des tableaux de société colorés, vivants et malicieux. S’il parle de « pèlerinage », il ne faut y voir rien de religieux, mais une expérience profonde des lieux, ponctuée de rencontres savoureuses avec leurs habitants, et, en passant, l’évocation de quelques figures marquantes de la culture européenne.
La curiosité de Kenneth White est inépuisable, comme sa spontanéité de promeneur érudit et son intelligence toujours sur le qui-vive. Partout dans ce livre, avec ses éclairs et son humour parfois noir, on entend le rire du gai savoir.