Cet ouvrage fait parti d´un ensemble de recettes classiques que l´on trouve au sujet de "L´Alchimie de la rosée". Effectivement, depuis le 14ème siècle, la rosée (nommée également "Lunaire" ou "Lunaria") a été un sujet de prédilection pour la pratique de la Philiosophie alchimique.
Tous les détails techniques sont ici abordés, comme la première putréfaction de la matière, l´utilisation de vaisseaux en verre spéciaux pour améliorer la qualité du travail, l´obtention du Soufre de nature et du Mercure des Philosophes, la réalisation du Dissolvant universel, l´obtention de la chaux d´or pour le grand-oeuvre, la coction de la matière philosophale et sa multiplication, la projection des poudres sur différentes matières et l´élixir de longue vie.
En outre au texte déjà riche, la petite introduction présente deux autres petits traités qui évoquent le même sujet de la pratique sur la rosée. L´ouvrage amène alors à se poser une véritable question : est-il possible que la pratique du grand-oeuvre alchimique ne puisse se faire qu´avec la rosée elle-même ? Le terme de Lunaire ne cacherait-il pas uen autre matière première ? Autant d´éléments qui amènent à considérer l´alchimie sous un autre regard !
Cet ouvrage fait parti d´un ensemble de recettes classiques que l´on trouve au sujet de "L´Alchimie de la rosée". Effectivement, depuis le 14ème siècle, la rosée (nommée également "Lunaire" ou "Lunaria") a été un sujet de prédilection pour la pratique de la Philiosophie alchimique.
Tous les détails techniques sont ici abordés, comme la première putréfaction de la matière, l´utilisation de vaisseaux en verre spéciaux pour améliorer la qualité du travail, l´obtention du Soufre de nature et du Mercure des Philosophes, la réalisation du Dissolvant universel, l´obtention de la chaux d´or pour le grand-oeuvre, la coction de la matière philosophale et sa multiplication, la projection des poudres sur différentes matières et l´élixir de longue vie.
En outre au texte déjà riche, la petite introduction présente deux autres petits traités qui évoquent le même sujet de la pratique sur la rosée. L´ouvrage amène alors à se poser une véritable question : est-il possible que la pratique du grand-oeuvre alchimique ne puisse se faire qu´avec la rosée elle-même ? Le terme de Lunaire ne cacherait-il pas uen autre matière première ? Autant d´éléments qui amènent à considérer l´alchimie sous un autre regard !