L´âge de la pierre ne s´est pas arrêté par manque de pierres ; pas plus que l´on a renoncé à la marine à voile parce que le vent était tombé. En réponse à tous ceux qui, pris de vertige devant les métamorphoses actuelles, pensent que la fin est proche, ce livre est un cri d´optimisme offensif : la fin d´UN monde n´est pas la fin DU monde. Nous nous trouvons à la jonction entre un « monde d´avant » qui montre partout les signes de son obsolescence, pétri par la croyance dépassée d´une croissance infinie dans un monde fini, et un « monde d´après », émergeant de toutes parts. C´est le moment de changer de regard, de rendre mobile son esprit pour faire advenir demain à l´aune de ce qu´il pourrait être de mieux.
Biodiversité, sécurité alimentaire, climat, énergie, démocratie, santé... : soyons conscients que l´avenir ne se prévoit pas mais qu´il se prépare.
« C´est la conjonction des intelligences et des sagesses du monde qui peut à la fois nous sauver du désastre et ouvrir une nouvelle ère de l´aventure humaine. »
Patrick Viveret
L´âge de la pierre ne s´est pas arrêté par manque de pierres ; pas plus que l´on a renoncé à la marine à voile parce que le vent était tombé. En réponse à tous ceux qui, pris de vertige devant les métamorphoses actuelles, pensent que la fin est proche, ce livre est un cri d´optimisme offensif : la fin d´UN monde n´est pas la fin DU monde. Nous nous trouvons à la jonction entre un « monde d´avant » qui montre partout les signes de son obsolescence, pétri par la croyance dépassée d´une croissance infinie dans un monde fini, et un « monde d´après », émergeant de toutes parts. C´est le moment de changer de regard, de rendre mobile son esprit pour faire advenir demain à l´aune de ce qu´il pourrait être de mieux.
Biodiversité, sécurité alimentaire, climat, énergie, démocratie, santé... : soyons conscients que l´avenir ne se prévoit pas mais qu´il se prépare.
« C´est la conjonction des intelligences et des sagesses du monde qui peut à la fois nous sauver du désastre et ouvrir une nouvelle ère de l´aventure humaine. »
Patrick Viveret