
		"Constantin MILSKY et Gilles ANDRÈS ont, une  profonde connaissance du monde traditionnel et de son langage symbolique  ; ce qui leur permet d´aller au delà des mots, de la lettre et de la  forme, pour percevoir, à l´essentiel, l´esprit de cette médecine. Quand  on sait qu´ils ont déjà travaillé plus de 10 ans à la traduction et à la  rédaction du Jiayijing, publié chez Trédaniel en 2004,  préfacé par Elisabeth Rochat de la Vallée (une autre filiation, mais  estelle autre ?), on comprend qu´il vont considérablement compléter,  élargir et enrichir les traductions précédentes du Lingshu de Chamfrault  et Mingwong. Après Choain, Lavier, Chamfrault, Nguyen Van Nghi  questionnait ces textes, ici vietnamiens ; il émaillait sans cesse ses  lectures de « pourquoi ? ». Quand on lui demandait la raison de ces  multiples « pourquoi », il répondait invariablement «parce qu´il y a  quelque chose à comprendre, parce qu´il y a tellement à comprendre ».  Une pierre de plus est posée, avec ce Lingshu, sur la voie de ceux qui  ont perçu que la médecine traditionnelle chinoise était une lecture «  nouvelle », originale et extraordinaire de l´être humain et du vivant."
     JeanMarc KESPI
Président d´honneur de l´AFA

"Constantin MILSKY et Gilles ANDRÈS ont, une  profonde connaissance du monde traditionnel et de son langage symbolique  ; ce qui leur permet d´aller au delà des mots, de la lettre et de la  forme, pour percevoir, à l´essentiel, l´esprit de cette médecine. Quand  on sait qu´ils ont déjà travaillé plus de 10 ans à la traduction et à la  rédaction du Jiayijing, publié chez Trédaniel en 2004,  préfacé par Elisabeth Rochat de la Vallée (une autre filiation, mais  estelle autre ?), on comprend qu´il vont considérablement compléter,  élargir et enrichir les traductions précédentes du Lingshu de Chamfrault  et Mingwong. Après Choain, Lavier, Chamfrault, Nguyen Van Nghi  questionnait ces textes, ici vietnamiens ; il émaillait sans cesse ses  lectures de « pourquoi ? ». Quand on lui demandait la raison de ces  multiples « pourquoi », il répondait invariablement «parce qu´il y a  quelque chose à comprendre, parce qu´il y a tellement à comprendre ».  Une pierre de plus est posée, avec ce Lingshu, sur la voie de ceux qui  ont perçu que la médecine traditionnelle chinoise était une lecture «  nouvelle », originale et extraordinaire de l´être humain et du vivant."
     JeanMarc KESPI
Président d´honneur de l´AFA
