"«Le Maître (Fulcanelli) possédait, parmi les livres de sa très riche bibliothèque, celui du médecin Denis de Copponay de Grimaldy. Comme il avait été un spagyriste sans plus, spécialement iatrochimiste, et qu’il s’était montré surtout d’une extrême imprudence, le philosophe du Mystère des Cathédrales et des Demeures Philosophales ne le cita, non plus que son volume, d’ailleurs aussi rare qu’à peu près inconnu.» (L’Alchimie expliquée sur ses textes classiques, éd. J-J Pauvert, Paris)
Notre bon maître de Savignies, Eugène Canseliet soulignait toute l’importance philosophale de ce texte, relevant apparemment davantage du domaine «iatro-chimique» (de iatros, médical), voire «spagyrique», plutôt que de celui de l’antique et pérenne Alchimie; mais reconnaissons volontiers qu’il ne convient guère ici de ne se fier qu’aux seules apparences !
Cependant, Copponay de Grimaldy se devait, par définition, de cantonner son propos au domaine proprement iatro-chimique, définissant son mode de préparation déjà fort appréciable de ses cinq remèdes, à savoir : son fébrifuge, son huile de vie, son élixir, ses pilules aurifiques et son or potable.
Toutefois, le lecteur averti de ses oeuvres posthumes, n’éprouvera aucune peine à concevoir que l’Adepte Fulcanelli ait tenu pour particulièrement précieux le contenu de celles-ci..."
"«Le Maître (Fulcanelli) possédait, parmi les livres de sa très riche bibliothèque, celui du médecin Denis de Copponay de Grimaldy. Comme il avait été un spagyriste sans plus, spécialement iatrochimiste, et qu’il s’était montré surtout d’une extrême imprudence, le philosophe du Mystère des Cathédrales et des Demeures Philosophales ne le cita, non plus que son volume, d’ailleurs aussi rare qu’à peu près inconnu.» (L’Alchimie expliquée sur ses textes classiques, éd. J-J Pauvert, Paris)
Notre bon maître de Savignies, Eugène Canseliet soulignait toute l’importance philosophale de ce texte, relevant apparemment davantage du domaine «iatro-chimique» (de iatros, médical), voire «spagyrique», plutôt que de celui de l’antique et pérenne Alchimie; mais reconnaissons volontiers qu’il ne convient guère ici de ne se fier qu’aux seules apparences !
Cependant, Copponay de Grimaldy se devait, par définition, de cantonner son propos au domaine proprement iatro-chimique, définissant son mode de préparation déjà fort appréciable de ses cinq remèdes, à savoir : son fébrifuge, son huile de vie, son élixir, ses pilules aurifiques et son or potable.
Toutefois, le lecteur averti de ses oeuvres posthumes, n’éprouvera aucune peine à concevoir que l’Adepte Fulcanelli ait tenu pour particulièrement précieux le contenu de celles-ci..."