«Parasite : nom masculin. « Organisme qui se nourrit strictement aux dépens d´un organisme hôte d´une espèce différente ».»
Les parasites ne sont pas ceux que l´on croit.
La véritable classe parasite est celle qui est située au sommet du corps social, cette classe bourgeoise qui a envahi la société tout entière, rachetant ses médias, finançant ses hommes politiques, exploitant ses travailleurs au plus bas prix possible.
En retour, cette classe ne nous apporte rien. Pire, elle nous coûte bien plus cher qu´elle ne nous rapporte. Elle nuit plus qu´elle brille. Elle nous mène au désastre écologique car elle est incapable de vivre sans accumuler. Moralement, elle est un naufrage. Pourtant chaque jour, elle est décrite sur nos radios, nos chaînes de télévision et dans nos journaux comme un groupe social indispensable à notre survie.
Foutaise : ce livre le démontre clairement. Non, les 500 familles les plus riches de France ne sont pas composées de dynamiques entrepreneurs qui ont pris des risques. Non, elles ne créent pas d´emploi.
Non, elles ne nous font pas du bien. Oui, on pourrait vivre sans leur règne.
«Parasite : nom masculin. « Organisme qui se nourrit strictement aux dépens d´un organisme hôte d´une espèce différente ».»
Les parasites ne sont pas ceux que l´on croit.
La véritable classe parasite est celle qui est située au sommet du corps social, cette classe bourgeoise qui a envahi la société tout entière, rachetant ses médias, finançant ses hommes politiques, exploitant ses travailleurs au plus bas prix possible.
En retour, cette classe ne nous apporte rien. Pire, elle nous coûte bien plus cher qu´elle ne nous rapporte. Elle nuit plus qu´elle brille. Elle nous mène au désastre écologique car elle est incapable de vivre sans accumuler. Moralement, elle est un naufrage. Pourtant chaque jour, elle est décrite sur nos radios, nos chaînes de télévision et dans nos journaux comme un groupe social indispensable à notre survie.
Foutaise : ce livre le démontre clairement. Non, les 500 familles les plus riches de France ne sont pas composées de dynamiques entrepreneurs qui ont pris des risques. Non, elles ne créent pas d´emploi.
Non, elles ne nous font pas du bien. Oui, on pourrait vivre sans leur règne.