Cet ouvrage est une étude comparative entre Plotin, Spinoza et Shankara, la raison et son dépassement en constituent le thème central. En effet ces trois philosophes cherchent à dépasser l’intellect : le noûs pour Plotin, la buddhi pour Shankara et la raison pour Spinoza et ce, dans des contextes très variés — hellénistique, hindouiste et rationaliste — pour en définitive, s’unir à l’Absolu. Dès lors, n’y aurait-il pas un lien de parenté, sous-jacent, qui unirait ces trois auteurs dans leur quête de Vérité ? La démarche de cette confrontation se propose de découvrir si le thème du « dépassement de la raison » révèle, ou non, l’existence d’un authentique lien entre ces philosophies et permette ainsi de rapprocher, irrésistiblement, la philosophie occidentale de la philosophie indienne…
« Cette étude pénétrante et suggestive, qui témoigne de la fécondité de la démarche comparative en philosophie permet de mieux comprendre comment opère le dépassement essentiel à la vie de l’Esprit. Car la philosophie comparée, lors même qu’elle libère le penseur occidental de l’ethnocentrisme inhérent au Logos occidental, porte du coup témoignage à l’unité de l’esprit humain dans sa recherche de la vérité tout en autorisant une fécondation mutuelle des modes de pensée, tant il est vrai que la philosophia perennis est le point de convergence espéré des grandes philosophies. »
Cet ouvrage est une étude comparative entre Plotin, Spinoza et Shankara, la raison et son dépassement en constituent le thème central. En effet ces trois philosophes cherchent à dépasser l’intellect : le noûs pour Plotin, la buddhi pour Shankara et la raison pour Spinoza et ce, dans des contextes très variés — hellénistique, hindouiste et rationaliste — pour en définitive, s’unir à l’Absolu. Dès lors, n’y aurait-il pas un lien de parenté, sous-jacent, qui unirait ces trois auteurs dans leur quête de Vérité ? La démarche de cette confrontation se propose de découvrir si le thème du « dépassement de la raison » révèle, ou non, l’existence d’un authentique lien entre ces philosophies et permette ainsi de rapprocher, irrésistiblement, la philosophie occidentale de la philosophie indienne…
« Cette étude pénétrante et suggestive, qui témoigne de la fécondité de la démarche comparative en philosophie permet de mieux comprendre comment opère le dépassement essentiel à la vie de l’Esprit. Car la philosophie comparée, lors même qu’elle libère le penseur occidental de l’ethnocentrisme inhérent au Logos occidental, porte du coup témoignage à l’unité de l’esprit humain dans sa recherche de la vérité tout en autorisant une fécondation mutuelle des modes de pensée, tant il est vrai que la philosophia perennis est le point de convergence espéré des grandes philosophies. »